Cette œuvre partielle, Livre I et Livre II, porte
le sceau d’un certain
Li Khe Liang, qui semble parfaitement inconnu des
sinologues français.
L’examen archéologique des tablettes permettrait de
les dater de la grande époque du taoïsme philosophique:~IVème ou
~IIIème.
Récemment découverts sur des tablettes de bois
dans un grenier privé, ses aphorismes poétiques ont été traduits par un
groupe d’étudiants en chinois ancien.